Centre Pompidou Metz, Les Portes du Possible, Art et Science-fiction, Novembre 20
Surface : 2800 m²
Budget : 300 000 euros TTC
La science-fiction est toujours un voyage, un dépaysement, mais elle part souvent du réel, du banal, de l’habituel, pour ébranler nos certitudes et renouveler nos perspectives. La scénographie part de l’archétype du banal en scénographie : le « white cube » pour mieux le subvertir, le parasiter, en opérant des failles donnant à voir l’intérieur des cimaises. Certaines sculptures ou vidéo émergent directement du plancher technique, donnant à voir les coulisses de l’infrastructure du musée.
Le visiteur ne saurait dire si l’exposition est en cours de construction ou au contraire, en cours de déconstruction, en ruine ou en progrès, résonnant avec les interrogations contemporaines sur le futur.
Commissaire : Alexandra Müller
Scénographie : La Sagna & Racine avec Georgi Stanishev
Graphisme : Muesli
Éclairage : Les ateliers de l’éclairage
Photographies © Marc Domage © Schnepp Renou
Surface : 2800 m²
Budget : 300 000 euros TTC
La science-fiction est toujours un voyage, un dépaysement, mais elle part souvent du réel, du banal, de l’habituel, pour ébranler nos certitudes et renouveler nos perspectives. La scénographie part de l’archétype du banal en scénographie : le « white cube » pour mieux le subvertir, le parasiter, en opérant des failles donnant à voir l’intérieur des cimaises. Certaines sculptures ou vidéo émergent directement du plancher technique, donnant à voir les coulisses de l’infrastructure du musée.
Le visiteur ne saurait dire si l’exposition est en cours de construction ou au contraire, en cours de déconstruction, en ruine ou en progrès, résonnant avec les interrogations contemporaines sur le futur.
Commissaire : Alexandra Müller
Scénographie : La Sagna & Racine avec Georgi Stanishev
Graphisme : Muesli
Éclairage : Les ateliers de l’éclairage
Photographies © Marc Domage © Schnepp Renou
